Bienvenue chez les routiers!!!
Je m'appelle Jean-Claude.
Ex agriculteur je passe au volant de camions...
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salut, à propos de l'obtention du permis de conduire enregistré en ligne, il y'a une seule vrai agence situé d
Par hervefranck, le 13.11.2025
bonjour je voudrais savoir le tarif c plus ec merci
Par Anonyme, le 11.02.2025
trop stylée le mini camion
Par Anonyme, le 28.04.2023
au juste ça c'est qu'elle marque de camion ce gros bulldozer j'aimerais bien savoir !!
Par Anonyme, le 02.03.2023
le camion et bien pour mois
Par Anonyme, le 08.09.2022
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Date de création : 31.12.2008
Dernière mise à jour :
04.09.2010
142 articles
Préparer votre titre de transport routier en ligne avec Gassi
voilà un site plus qu'intéressant pour tous les amis qui cherchent à travailler pour préparer leur(s) permis.
Il s'agit de http://gassi.free.fr/ que je vous invite à visiter et à féliciter!!!
1889 : premier examen de conduite automobile sur tricycle à vapeur. 1889 : la duchesse d'Uzès est la première femme française à l'obtenir. 1893 : instauration par les préfectures de police, d'un certificat de capacité pour la conduite des véhicules. 1899 : le certificat de capacité spéciale permet de conduire sur route à 30 km/h et en ville à 20 km/h. 1922 : avec l'apparition de la police de la circulation, le terme « permis de conduire » remplace l'ancien certificat. Des catégories de véhicules sont mises en place, tourisme qui est un tronc commun obligatoire, motocyclettes puis camions de + de 3 tonnes et véhicules de transports en commun. 1954 : création des catégories A1 A B C D E et F et du permis à trois volets. 1969 : les nouveaux titulaires du permis de conduire ne doivent pas dépasser 90 km/h pendant un an. 1975 : réforme sur les équivalences des permis de conduire (par exemple, l'obtention du permis poids-lourds ouvre le droit automatiquement à la conduite des véhicules légers...) et création de la catégorie "super poids-lourds" nommée C1. 1980 : création de la catégorie "tricycles et quadricycles à moteur" A4 devenue successivement AT puis B1 et scission du permis moto A en trois sous-catégories A1 A2 et A3. 1982 : l'obtention du permis de catégorie C1 donne droit à la conduite des véhicules de la catégorie D. 1983 : les permis C et C1 sont limités à la conduite des véhicules dont le P.T.A.C. ou le P.T.R.A. n'excède pas 7,5 tonnes pour les candidats âgés de moins de 21 ans, sauf pour les détenteurs d'un CFP CAP ou BEP de conduite routière. Les titulaires du permis D ne peuvent pas conduire de véhicules de transport en commun dans un rayon dépassant 50 km autour du point d'attache pendant un an, sauf ceux qui en sont devenus titulaires avant 1970 ou s'ils justifient d'un CFP CAP ou BEP de conduite routière. La conduite des véhicules des catégories C et / ou C1 d'une durée d'au moins un an annule également cette restriction. 1984 : suppression de la catégorie F (conducteurs infirmes...). 1985 : permis de conduire nouveau modèle (communauté européenne...). Les catégories de permis moto sont simplifiées devenant AT (tricycles et quadricycles...) AL (motocyclettes légères...) puis A redevenant le permis dit "gros cube". Le permis C1 est remplacé au profit des permis C (tous porteurs et ensembles de véhicules de marchandises...) et CL (porteurs jusqu'à 19 tonnes et ensembles jusqu'à 12,5 tonnes. 1990 : modification de la réforme de 1975 et le permis "super poids-lourds" devient E(C). 1992 : entrée en vigueur du permis à points. 1994 : le permis de conduire est désormais plastifié sur le premier volet. 1995 : mise en place des formations obligatoires pour les conducteurs de véhicules de transports de marchandises. 1996 : réforme du permis AL (motocyclettes jusqu'à 125cm3...) s'obtenant automatiquement après 2 ans de permis B. 1999 : les catégories E(B) et E(D) sont désormais soumises à la réussite d'un examen théorique et pratique. 2000 : mise en place des formations obligatoires pour les conducteurs de véhicules de transports en commun. 2004 : entrée en vigueur du permis probatoire. 2005 : instauration d'un certificat médical d'aptitude à la conduite. 2005 : le député Jean-Michel BERTRAND, missionné en 2004 par le Premier Ministre Jean-Pierre Raffarin, rend son rapport "faciliter l'accès des jeunes au permis de conduire" 2006 : début du projet d'un permis de conduire européen de taille "carte de crédit". 2008 : discussion d'une réforme du Permis de Conduire.
Meilleure répartition de la charge, meilleure tenue de route et plus de confort : c’est ce que Volvo Trucks offre à ses clients avec l’élargissement de sa gamme d’essieux tandems et d’essieux avant à suspension pneumatique pour camions-bennes, camions-malaxeurs, camions-citernes, etc.
Martin Palming, chef de produit pour le développement de châssis de Volvo Trucks : « La tendance est aux charges toujours plus lourdes et, simultanément, la demande d’efficacité et de confort augmente. En élargissant notre gamme de châssis pour les Volvo FH et Volvo FM, nous répondons aux exigences de nos clients et leur donnons plus de possibilités, avec une solution optimisée pour les activités productives. »
Meilleure répartition du poids et meilleure tenue de route
Les nouvelles caractéristiques comprennent un tridem 8x4 Volvo, un train roulant à trois essieux à suspension pneumatique monté en usine, et un essieu traîné directeur. Avec trois essieux et un déport arrière court, la charge peut être répartie pour un maximum d’efficacité, ce qui offre une bonne stabilité et une excellente adhérence même sur terrain difficile. Un essieu traîné directeur combiné à un empattement étroit rend le véhicule particulièrement facile à manoeuvrer.
« Avec un empattement de 3,7 mètres et un essieu traîné directeur, le rayon de braquage d’un véhicule de 32 tonnes brutes n’est que de 5,3 mètres », explique Martin Palming.
Chaque fois que nécessaire, l’essieu traîné peut être relevé pour réduire les frottements avec la chaussée, ainsi que l’usure des pneus et la consommation de carburant.
Pour les véhicules jusqu’à 42,5 tonnes brutes
Le tridem 8x4 Volvo est idéal pour les camions-bennes et les camions-malaxeurs, ainsi que pour les camions-citernes, les transporteurs de vrac et de conteneurs avec une charge à l’essieu jusqu’à 33,5 tonnes et un poids brut de 42,5 tonnes, uniquement dans les pays où la législation le permet.
Plus d’essieux à suspension pneumatique
Volvo Trucks lance également plusieurs versions d’essieux tandems à suspension pneumatique pour des charges à l’essieu de 23 et 26 tonnes. Cela correspond à une augmentation de 1,5 à 5 tonnes par rapport à la précédente génération de véhicules. La gamme d’essieux avant a été élargie, avec des essieux à suspension pneumatique et des essieux à ressort supportant respectivement des charges à l’essieu de 8,5 et 9 tonnes.
Source : Volvo Trucks
Toujours beaucoup de discussions autour des épreuves du permis, alors, un grand merci à Rachid qui nous fait profiter d'un site très intéressant à découvrir à cette adresse:http://alainfrancis.free.fr/Examen_des_permis/Titre_Exam_permis.6.htm
SOMMAIRE
1) Assainissement : fouilles et remblais techniques
2) Assainissement : pose des tuyaux en béton et des ouvrages de vidange
3) Transport
4) Traitement des sols
5) Drainage -maîtrise de l’eau
6) Remblai et compactage
7) Finitions
1 -Assainissement : fouilles et remblais techniques
Les fouilles sont implantées avant exécution et matérialisées sur le terrain par un marquage à la
chaux ou à la peinture. Elles sont réalisées à l’aide d’un laser et d’une mire ce qui permet à la
pelle de réaliser la fouille à la bonne profondeur : soit de 10 à 20 centimètres au-dessous de
l’arase inférieure de la canalisation.
Le lit de pose est ensuite réalisé avec du sable 0/4 réparti sur une épaisseur de 10 à 20 centimètres
et correctement compacté. Il est dressé suivant la pente et l’altimétrie prévue au projet. Des
niches sont aménagées dans ce lit de pose au droit des joints des tuyaux de manière que les
tuyaux portent sur toute leur longueur et non sur les joints. La surface ne doit présenter aucun
point dur ou faible.
Le fond de la tranchée est compacté par deux passes de compacteur de géométrie appropriée
permettant d’assurer la stabilité et la planéité du fond de la tranchée.
Les remblais techniques sont réalisés après la pose de tous les tuyaux bétons emboîtés à l’aide de
la pelle. Ils sont réalisés avec du sable 0/4 par couches d’épaisseur environ égale à 15 centimètres
correctement compacté selon un nombre de passe prédéfini. La couche de sable déposée tient
compte du foisonnement avant compactage.
Le sable utilisé, qui doit être humide pour être correctement compacté, est régulièrement arrosé à
l’aide d’une " arroseuse ". Il est à noter que la qualité des travaux en tranchée dépend pour une
bonne part de la qualité du compactage, compactage dont l’objectif est :
* d’éviter les tassements ultérieurs,
* d’éviter les différences de perméabilité trop importantes,
* assurer une bonne tenue mécanique de la tranchée.
Le passage des compacteurs doit être effectué à une distance raisonnable de la conduite : 0,25 à
0,55 mètre.
Le contrôle de compactage est effectué au moyen d’un Gamma densimètre aussi appelé Troxler.
L’interprétation des mesures nécessite que puisse être réalisé l’essai Proctor fournissant la
référence de compactage. Sous chaussée, la partie supérieure du remblai de la tranchée doit offrir
un support suffisamment rigide permettant de compacter efficacement les assises.
2 -Assainissement : pose des tuyaux en béton et des ouvrages de vidange
Les tuyaux en béton armé sont livrés sur le chantier par camions et déchargés non loin de
l’emplacement de l’ouvrage à réaliser pour faciliter et accélérer leur pose ultérieure. Des cales en
bois peuvent être utilisées pour ne pas détériorer les éléments.
L’emboîtement des tuyaux armés se fait à l’aide d’une pâte spécifique étalée sur les joints
intégrés à la fabrication. Les joints doivent auparavant être soigneusement nettoyés. Le premier
tuyau béton est posé au laser et calé à l’aide de sable pour assurer son maintien. Les tuyaux sont
posés à partir de l’aval et leur emboîture (extrémité femelle) est dirigée vers l’amont. Les collets
mâles et femelles sont tous graissés à l’aide d’une pâte spécifique, particulièrement au niveau de
l’extrémité arrondie du joint, avant l’emboîtement des joints dits glissants.
Chaque élément est descendu sans heurt dans la tranchée et présenté dans l’axe de l’élément
précédemment posé, emboîté, réaligné et calé à l’aide du laser. Les tuyaux sont posés en file bien
alignée et avec une pente régulière. L’emboîtement est réalisé à l’aide d’un godet de pelle par une
poussée progressive exercée suivant l’axe de l’élément précédent.
Le remblayage de l’assise est entrepris avec soin en poussant les matériaux sous les flancs de la
canalisation afin de ne pas laisser de cavité. Les têtes de buses sont ensuite posées de niveau et
bétonnées sur les buses pour réaliser un ensemble solidaire. Le béton utilisé pour bétonner est
régulièrement contrôlé. De l’enrochement est également mis en place le long de ces têtes pour
caler le sable des remblais et pour améliorer l’aspect esthétique.
Il faut alors mettre en place, entre le fonds de fouille et le tuyau, un support enveloppé d’un
textile, baptisée chaussette, constitué soit de 80 centimètres de grave 40/70, simple couche
drainante, soit, sur les terrains compressibles, une grave de 0/150 formant poutre sous le tuyau .
Le niveau du fond de fouille est donc descendu de 80 cm. Le géotextile, qui permet d’éviter le
mélange des matériaux en place avec les matériaux nobles, est refermé pour former une
chaussette drainante. La mise en oeuvre de tels ouvrages permet d’assurer la stabilité du bloc
technique contre les venues d’eau et les tassements différentiels en terrain compressible.
3 -Transport
Tout chantier de terrassement génère des déblais et nécessite la réalisation de remblais.
Il faut donc transporter les matériaux extraits avec des engins adaptés :
* transport sur route : camions routiers ;
* transport de matériaux rocheux : tombereaux de chantier ou camions routiers spéciaux ;
* transport sur longues distances : camions routiers ;
* transport de grandes quantités à grandes cadences : camions de chantier, tapis roulant ;
* transport de matériaux meubles sur de courtes distances à grande cadence : décapeuses ;
* transport sur un terrain meuble et humide (ornières) : tombereaux articulés à essieux multiples ;
* transport dans des sites urbains à proximité d’une rivière : péniches ;
* transport dans des carrières, des tunnels ou des sites urbains : tapis roulant (convoyeur).
4 -Traitement des sols
Le traitement est une opération qui consiste à mélanger un sol naturel avec de la chaux et/ou un
liant hydraulique. Il permet, en améliorant ses caractéristiques, d’utiliser un sol qui était impropre
à l’état naturel. Par ailleurs, cette technique conduit à préserver l’environnement : en utilisant les
matériaux du site, on sauvegarde les ressources naturelles nobles (roches massives) et on réduit
les nuisances (pas de circulation de camions de transport sur les voiries publiques).
Le traitement à la chaux (vive) permet de diminuer très rapidement la teneur en eau et ainsi de
rendre « portant » des sols non circulables à l’état naturel. Lorsque le sol est argileux, le
traitement à la chaux (vive, éteinte ou lait de chaux) augmente à long terme ses caractéristiques
mécaniques. Le traitement au liant hydraulique procure au mélange des caractéristiques
mécaniques pérennes et permet ainsi de l’utiliser en couche de forme ou en assises de chaussées.
Le matériel nécessaire est composé de :
* une épandeuse de liants : citerne tractée de 12 à 16 m3 avec système de dosage pondéral asservi
à la vitesse d’avancement ;
* une arroseuse de 10 à 15 m3, avec une rampe munie d’injecteurs, tractée ou automotrice ;
* un malaxeur : soit une charrue à socs tractée par un bouteur, soit un pulvérisateur automoteur
(pulvi-mixer) à rotor horizontal.
5 -Drainage -maîtrise de l’eau
La réalisation d’un chantier de terrassement passe obligatoirement par la maîtrise de l’eau
contenue dans les sols mais également de l’eau de la nappe phréatique, des cours d’eau
permanents ou temporaires et des eaux pluviales.
La maîtrise de l’eau comporte 3 volets :
* la collecte et l’évacuation des eaux superficielles dans l’emprise du projet, ce sont
principalement les eaux de pluie,
* la collecte et l’évacuation des eaux internes, c’est-à-dire le drainage,
* le rétablissement des écoulements naturels, rus, ruisseaux ou rivières.
Ouvrages hydrauliques de traversée : ils permettent le transit de part et d’autre de la plate-forme,
des eaux des bassins versants. Il peut s’agir de véritables ouvrages d’art selon leur capacité ou de
petits ouvrages constitués d’un conduit circulaire ou rectangulaire. Ils sont posés sur une
fondation adaptée, et protégés par un remblai technique. Ils comportent un aménagement amont
pour entonner l’eau et aval pour la restituer au milieu naturel.
Drainage : Il a pour fonction de recevoir ou de drainer les eaux de pluie qui s’écoulent sur la
plate-forme, les eaux de ruissellement des talus et des bassins versants et les eaux internes
éventuellement. Les drainages à ciel ouvert sont des fossés revêtus ou non de béton, des cunettes
ou des caniveaux. Les drainages enterrés sont des éléments préfabriqués, collecteurs drainants et
buses : ils comportent une partie drainante pour capter les eaux et une partie qui permet
l’écoulement des eaux recueillies vers un exutoire.
6 -Remblai et compactage
Un remblai est un ouvrage en terre qui provient de la mise en place de matériaux pour rehausser
ou niveler le terrain naturel.
Il doit pouvoir supporter les sollicitations ultérieures (trafics routier ou ferroviaire, bâtiments,
superstructures...) sans déformation préjudiciable (tassements, glissements...).
La qualité d’un remblai dépend de la nature des matériaux qui le compose et de leur mise en
oeuvre.
Les matériaux, issus des déblais du site ou d’un emprunt, doivent être mis en place à une teneur
en eau correcte (pour assurer une portance suffisante) et compactés (pour garantir leur stabilité).
Le compactage : c’est l’action de tasser un matériau à l’aide de moyens mécaniques (pour réduire
les vides et augmenter sa cohésion).
Il est réalisé soit au moyen de compacteurs statiques (à pneus ou à pieds dameurs) qui agissent
uniquement par leur poids, soit de compacteurs vibrants (à bille lisse ou à pieds dameurs) qui
agissent par leur poids et leur vibration.
Le contrôle du compactage est réalisé soit par des mesures ponctuelles de densités (nucléo
densimètre), soit par une mesure en continu de l’énergie de compactage.
7 -Finitions
Elles comprennent :
* le nivellement des dépôts ;
* le nettoyage général ;
* le démontage des installations ;
* la remise en état des plates-formes ;
* Les dépôts définitifs de matériaux impropres ou excédentaires seront mis en forme et revêtus de
terre végétale afin d’être remis éventuellement en culture.
Un nettoyage général du chantier sera fait afin de permettre sa réception. Les installations seront
démontées et les matériels évacués. Les plates-formes utilisées seront remises en état et rendues à
leurs propriétaires ou exploitants.
Dans dix-huit mois, la RN7 aura encore grignoté 9,3 km à 2X2 voies au sud de l'Allier. De quoi soulager un tronçon au trafic particulièrement chargé en poids lourds.
C'est le plus gros chantier en cours dans l'Allier. Non pas par sa longueur (à peine plus de 9 km) mais par les moyens engagés pour traverser un secteur à la topographie tourmentée. Il fallait bien ça pour rayer enfin de la carte un tronçon de la RN7 particulièrement accidentogène et le transformer en route express à 2X2 voies. La mise en service est programmée pour fin 2011.
9,3 km à 2X2 voies. Le tracé retenu est long de 9,3 km. Il prendra la forme d'une 2X2 voies sur tout le parcours. Il reliera la déviation de Lapalisse (6,3 km) mise en service en octobre 2006 à l'échangeur de Saint-Pierre-Laval, à la frontière avec le département de la Loire.
Le terrassement presque fini. Le terrassement est aujourd'hui assuré à 90 %. Au plus fort du chantier, à l'été 2009, on a compté jusqu'à 130 ouvriers sur le site en simultané. Ils ne sont plus qu'une soixantaine actuellement. À terme, les engins auront remué quelque 1,4 millions de m3 de remblais pour 1,7 million de m3 de déblais.
Cap sur fin 2011. Entamés en 2007, les travaux devraient s'achever fin 2011. L'année 2010 sera consacrée à la finition du terrassement, à l'aménagement d'une couche de forme et à la réalisation des derniers ouvrages. Dix ponts sont prévus. Six sont déjà construits et un septième, à la sortie de Saint-Martin d'Éstréaux, est en cours de réalisation. Le projet prévoit également 23 ouvrages hydrauliques, deux passages agricoles et un passage à faune. En 2011, il restera à poser 159.000 tonnes d'enrobés, à réaliser les aménagements paysagers, poser les glissières de sécurité et installer la signalisation. Coût estimé de l'opération : 62,5 M€.
Les autres chantiers en cours sur la RN7 dans l'Allier. Déviation de Varennes-sud (4,6 km pour 37 M?) : fin 2012 ; déviation de Villeneuve-sur-Allier (7 km pour 48 M?) : 2013.
En attente. Villeneuve\Allier-Trévol : 2 km pour 15 M€ ; RCEA-Saint-Loup : 11,1 km pour 69 M€ (dont 49 M€ pour la déviation de Bessay) ; déviation de Varennes-nord : 7,5 km pour 61 M€ ; Varennes-Lapalisse : 17 km pour 84 M€. Si l'on enlève ce qui est déjà programmé, il reste donc 37,6 km à aménager en 2X2 voies sur les 88,2 du parcours bourbonnais de la RN 7. Ce qui représente la bagatelle de 229 M€.
Source: LA MONTAGNE CENTREFRANCE
Un convoi exceptionnel assez important se déplace actuellement dans l'Allier pour mener à Bayet un alternateur de 570 tonnes destiné à la centrale electrique en cours de création.
Acheminé depuis Gènes par voie fluviale jusqu'à Chalon sur saône, il a été depuis transporté par l'entreprise Italienne Fagioli spécialisée dans ce genre de transports
http://www.fagioli.com/?lang=ITA
Le déplacement rassemble les foules et les bords de routes ressemblent à s'y méprendre au passage du tour de france!!!
petit message de Michel:
"bonjour je vous envoi cemail car vous qui passer votre vie au volant des camions peut etre pourriez vousvenir en aide a mon association je m'explique le comité des fetes de Vouille (86190) organise un festival country pour le week end du 21 et 22 aout 2010 et nous sommes a la recherche de camions americains pour venir exposer mais je commence a desesperer d'en trouver peut etre connaissez vous quelques routiers sympas au volants de ses beaux camions qui accepterait de venir ca serait trop sympa j'espere que vous aurez mon mail et si vous voulez me joindre je vous laisse mon tel
05 49 58 80 37 ou 06 77 27 50 93
mon adresse mailmichel.rouquet86@orange.fr
merci encore cordialement michel!"
Alors les amis routiers, n'hésitez pas à contacter Michel si vous pouvez participer...
Jean-Claude